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Science + Religion

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12 décembre 2012

LES MIRACLES SCIENTIFIQUES DE DIEU DANS LE CORAN

LA CREATION DE L'HOMME

Divers sujets sont abordés dans le Coran pour inviter les gens à croire. Parfois ce sont les cieux, les animaux ou encore les plantes qui y sont mentionnés comme preuves de l'existence de Dieu. Plusieurs versets invitent l'être humain à réfléchir sur sa propre création. Ces versets rappellent à l'homme comment il est venu au monde, quelles sont les étapes qu'il a traversées et quelle est la nature de son essence :

C'est Nous qui vous avons créés. Pourquoi ne croiriez-vous donc pas (à la résurrection) ? Voyez-vous donc ce que vous éjaculez (le sperme) : est-ce vous qui le créez ou (en) sommes-Nous le Créateur ? (Coran, 56 : 57-59)

 
Dans la photo de gauche, nous apercevons du sperme éjaculé dans l'utérus. Sur les 250 millions de spermatozoïdes émis par le mâle, seuls très peu parviennent jusqu'à l'ovule. Le spermatozoïde qui fécondera l'œuf est le seul survivant parmi les milliers d'autres spermatozoïdes.
Que l'homme soit créé non à partir du sperme entier mais seulement d'une petite partie est rapporté dans le Coran à travers l'expression "une goutte de sperme éjaculé".

La création de l'homme et son aspect miraculeux sont également soulignés en de nombreux autres versets. Quelques-unes de ces données sont si détaillées qu'il apparaît totalement impossible qu'une personne vivant au 7ème siècle ait pu les connaître. Etudions certaines d'entre elles :

1. L'homme n'est pas créé à partir de la semence complète, mais seulement à partir d'une partie infime de celle-ci (le sperme).

2. Le mâle détermine le sexe du bébé.

3. L'embryon humain s'accroche à l'utérus maternel comme une sangsue.

4. L'embryon humain se développe dans trois régions "obscures" de l'utérus.

Les éléments énumérés ci-dessus dépassent le niveau de connaissances des hommes de cette époque. Leur découverte n'a pu aboutir que grâce au développement de la technologie au 20ème siècle.

Examinons-les maintenant un à un.

Une goutte de semence

Les spermatozoïdes entreprennent un voyage ardu de cinq minutes au niveau de l'utérus avant d'atteindre l'ovule. Parmi les 250 millions de spermatozoïdes, seul un millier réussira à atteindre l'ovule. L'ovule dont la taille fait la moitié du diamètre d'un grain de sel, ne laisse pénétrer qu'un seul spermatozoïde. En d'autres termes, l'essence de l'homme n'est pas le résultat d'une semence complète mais en constitue seulement une petite partie. Ceci est expliqué dans la sourate al-Qiyamah ainsi :

L'homme pense-t-il qu'on le laissera sans obligation à observer (et qu'il ne sera pas puni pour ses mauvais actes) ? N'était-il pas une goutte de sperme éjaculé ? (Coran, 75 : 36-37)

Comme nous l'avons vu, le Coran nous informe que l'homme n'est pas créé à partir de la semence complète mais de seulement une petite partie de celle-ci. L'accent mis sur cette révélation découverte par la science moderne est bien une preuve que son origine est divine.

Le mélange dans le liquide séminal


Dans le Coran, il est dit que la masculinité ou la féminité sont générées à partir "d'une goutte de sperme éjaculé". Jusqu'à récemment, on croyait que le sexe du bébé était déterminé par les cellules de la mère. La science n'a découvert cette information, donnée par le Coran, qu'au 20ème siècle. Cet élément, ainsi que d'autres détails similaires sur la création de l'homme ont été affirmées par le Coran il y a des siècles de cela.

Le liquide séminal contenant le sperme ne comporte pas seulement des spermatozoïdes. Il est composé d'un mélange de différents fluides. Le fluide séminal est une combinaison de substances sécrétées par les testicules, les vésicules séminales, la prostate et les glandes liées à l'appareil urinaire. Une analyse détaillée de ce fluide montre qu'il est composé d'un grand nombre de substances distinctes, telles que l'acide citrique, les prostaglandines, les flavines, l'acide ascorbique, l'ergothionéine, le cholestérol, les phospholipides, la fibrinolyse, le zinc, l'acide phosphatase, le phosphate, la hyaluronidase et les spermatozoïdes. Ces fluides exercent différentes fonctions : ils fournissent le sucre nécessaire à la production d'énergie des spermatozoïdes, neutralisent les acides se trouvant à l'entrée de l'utérus, produisent une substance lubrifiante facilitant le déplacement des spermatozoïdes.

Il est assez intéressant de noter que lorsque le sperme est mentionné dans le Coran, il y est fait allusion à un mélange de fluides :

En effet, Nous avons créé l'homme d'une goutte de sperme mélangé (aux composantes diverses) pour le mettre à l'épreuve. (C'est pourquoi) Nous l'avons fait entendant et voyant. (Coran, 76 : 2)

Dans un autre verset, le sperme est défini comme un mélange et Dieu souligne dans le Coran que l'homme est créé à partir d'un extrait de ce mélange :

Qui a bien fait tout ce qu'll a créé. Et Il a commencé la création de l'homme à partir de l'argile, puis Il tira sa descendance d'une goutte d'eau vile (le sperme). (Coran, 32 : 7-8)

Le mot arabe soulala, traduit par "extrait" signifie "partie essentielle ou supérieure de quelque chose". Quoi qu'il en soit, il s'agit de la "partie d'un tout". Ceci prouve que le Coran est l'expression d'une volonté qui connaît la création de l'homme jusque dans ses moindres détails. Cette volonté n'est autre que celle du Créateur de l'homme.

Le sexe d'un bébé

Jusqu'à très récemment, on pensait que le sexe du bébé était déterminé par les cellules de la mère. Ou pensait-on tout au moins que le sexe était déterminé conjointement par les cellules mâles et femelles. Mais le Coran nous renseigne différemment : il affirme que la masculinité ou la féminité est déterminée par "une goutte de semence éjaculée".

Il a créé le couple, le mâle et la femelle, à partir d'une goutte de semence éjaculée. (Coran, 53 : 45-46)

N'était-il pas une goutte de sperme éjaculé ? Puis une adhérence que Dieu a créée et harmonisée, et dont il a fait un couple mâle et femelle ? (Coran, 75 : 37-39)

Les progrès de la génétique et de la biologie moléculaire ont scientifiquement validé l'exactitude de l'information donnée dans le Coran. On sait maintenant que le sexe est déterminé par les cellules spermatiques de l'homme, et que la femme ne joue aucun rôle dans ce processus.

Les chromosomes sont les principaux éléments impliqués dans la détermination du sexe. Deux des 46 chromosomes qui déterminent l'identité sexuelle d'un être humain sont appelés chromosomes sexuels. Ces deux chromosomes sont appelés "XY" chez l'homme et "XX" chez la femme, parce que leur aspect fait penser à ces lettres. Le chromosome Y est porteur des gènes codant pour la masculinité, tandis que le chromosome X est porteur des gènes codant pour la féminité.

Le chromosome Y porte les caractéristiques de la masculinité, alors que le chromosome X porte ceux de la féminité. Dans l'ovule de la mère, seul le chromosome X existe, et il détermine les caractéristiques femelles. Dans le sperme du père, les spermatozoïdes portent soit le chromosome X, soit le chromosome Y. Par conséquent, le sexe du bébé dépendra du spermatozoïde qui fécondera l'œuf. En d'autres mots, comme le déclare ce verset, le facteur déterminant le sexe du bébé est bien la semence du père. Cette connaissance, qui ne pouvait être connue à l'époque de la révélation du Coran, est une preuve que le Coran est la parole de Dieu.

La formation d'un nouvel être commence par la combinaison croisée d'un de ces chromosomes, qui existe par paires chez l'homme et la femme. Chez la femme, les deux composants de la cellule sexuelle, qui se divise en deux durant l'ovulation, sont porteurs de chromosomes X. La cellule sexuelle mâle, en revanche, produit deux sortes différentes de spermatozoïde, l'une contenant un chromosome X et l'autre un chromosome Y. Lorsque la cellule sexuelle s'unit avec un spermatozoïde contenant un chromosome X, alors le bébé sera de sexe féminin. Si elle s'unit avec le spermatozoïde portant un chromosome Y, le bébé sera de sexe masculin.

Autrement dit, le sexe d'un bébé est déterminé par le type de chromosome du mâle qui s'unit avec l'ovule.

On ignorait tout cela jusqu'à la découverte des gènes au 20ème siècle. Dans de nombreuses cultures, on pensait même que le sexe du bébé était déterminé par la femelle. C'est pourquoi les femmes étaient blâmées lorsqu'elles donnaient naissance à des filles.

14 siècles avant la découverte des gènes humains, le Coran a cependant révélé une information qui dément cette superstition et fit allusion au fait que le sexe du bébé était déterminé non par la femme mais par l'homme.

L'adhérence à l'utérus

Si nous continuons à examiner le Coran, notamment sur ce qu'il affirme à propos de la formation des êtres humains, nous découvrons encore d'autres miracles scientifiques très importants.

Lorsque le spermatozoïde s'unit à l'ovule, les caractéristiques sexuelles du bébé à naître sont déjà présentes. Cette cellule unique, appelée "zygote", commencera instantanément à se reproduire en se divisant, pour devenir ensuite un "morceau de chair", appelé embryon. Nul ne peut, bien entendu, observer cela autrement qu'à l'aide d'un microscope.

Toutefois, le développement de l'embryon n'a pas lieu dans un espace vide. Il s'accroche à l'utérus tel une plante s'enracinant dans le sol. Grâce à ce lien avec la mère, l'embryon peut recevoir les substances essentielles à son développement.

C'est là qu'apparaît un autre miracle très important du Coran. En parlant de l'embryon qui se développe dans l'utérus de la mère, Dieu emploie dans le Coran le mot alaq (adhérence) :

Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé, créé l'être humain d'un 'alaq. Lis, car ton Seigneur est le Très-Généreux… (Coran, 96 : 1-3)

Durant la première phase du développement, le bébé dans l'utérus de la mère existe sous forme de zygote, la toute première cellule diploïde d'un individu, qui se multiplie puis s'accroche à l'utérus afin d'extraire via le sang de la mère les nutriments nécessaires à son développement. La photo ci-dessus représente un embryon ayant l'aspect d'un morceau de chair. Cette formation, qui a été découverte par l'embryologie moderne, a été miraculeusement déclarée dans le Coran il y a 14 siècles de cela avec le mot alaq, soit "une chose qui s'accroche à un endroit", expression utilisée pour décrire la sangsue qui s'accroche à un corps pour en sucer le sang.

Le sens du mot alaq en arabe est "quelque chose qui s'accroche". Ce mot est utilisé littéralement pour décrire les sangsues lorsqu'elles s'accrochent sur un corps pour en sucer le sang.

Ce n'est certainement pas un hasard qu'un mot si approprié soit utilisé pour décrire le mode de fixation de l'embryon dans l'utérus, à savoir la nidation. Cela prouve une fois de plus que le Coran est une révélation de Dieu, le Seigneur des mondes.

Les muscles qui enveloppent les os

Un autre élément important contenu dans les versets du Coran concerne les étapes du développement d'un être humain dans l'utérus. Les versets indiquent qu'on assiste d'abord au développement des os de l'embryon, puis à la formation des muscles qui enveloppent l'ossature.

Ensuite Nous en avons fait une goutte de semence dans un réceptacle sûr, puis Nous avons créé de la goutte de semence une adhérence, puis Nous avons créé de l'adhérence un morceau mâché, puis Nous avons créé du morceau mâché des os puis Nous avons revêtu les os de chair ; ensuite Nous en avons produit un autre être : béni soit Dieu, le Meilleur des créateurs ! (Coran, 23 : 14)

L'embryologie est une discipline scientifique qui étudie le développement de l'embryon dans l'utérus. Jusqu'à très récemment les embryologistes pensaient que le développement des os et des muscles était concomitant. Mais des recherches plus poussées réalisées grâce aux progrès de la technologie ont établi que la révélation coranique relative à ce sujet est juste dans ses moindres détails.

Ces examens au niveau microscopique ont montré que le développement à l'intérieur de l'utérus maternel se fait exactement de la manière décrite dans ces versets. D'abord, le tissu cartilagineux de l'embryon s'ossifie. Puis les cellules musculaires sélectionnées à partir d'un tissu spécifique s'assemblent et enveloppent les os.

Cet événement est décrit dans une publication scientifique nommée Developing Human en ces termes :


Les os du bébé en phase finale de développement utérin sont enveloppés de chair durant une étape particulière, exactement comme le stipule le Coran.

La forme du squelette détermine l'apparence générale de l'embryon au cours de la 7 ème  semaine, Les muscles ne se développent pas au même moment mais juste après. Les cellules musculaires prennent position dans le milieu environnant les os, sur tout le corps puis enveloppent les os. Ainsi les muscles prennent les formes et les structures bien connues. La phase d'enveloppement des os par les muscles a lieu durant la 8 ème semaine. 

 

Bref, les étapes du développement humain décrites dans le Coran concordent parfaitement avec les découvertes de l'embryologie moderne.

Les trois étapes dans l'utérus maternel

Dans le Coran, il est noté que l'homme est créé dans l'utérus maternel selon un processus composé de trois étapes.

Il vous crée dans les ventres de vos mères, création après création, dans trois ténèbres. Tel est Dieu, votre Seigneur ! A Lui appartient toute la royauté. Point de divinité à part Lui. Comment pouvez-vous vous détourner (de Son culte) ? (Coran, 39 : 6)

L'expression fi dhouloumatin thalaathin traduit en français pas "trois ténèbres", indiquent que trois régions sont impliquées dans le développement de l'embryon. Il s'agit de :

a) La cavité de l'abdomen

b) La cavité de l'utérus

c) La cavité du placenta

Comme nous l'avons vu, la biologie moderne a révélé que le développement embryonnaire a lieu dans trois régions de l'utérus, selon la chronologie décrite dans le verset. De plus, les progrès de l'embryologie montrent que ces régions consistent en trois couches chacune.


De nombreuses étapes du développement de l'embryon et du foetus dans l'utérus maternel sont décrites dans le Coran. Comme le stipule le verset 14 de la sourate al-Muminun, le cartilage de l'embryon s'ossifie d'abord. Puis les os sont couverts par les cellules musculaires. Dieu décrit ce développement avec le verset :
"... Puis, de cet embryon Nous avons créé des os et Nous avons revêtu les os de chair... " 

La paroi abdominale latérale comprend trois couches : l'oblique externe, l'oblique interne, et les muscles abdominaux transversaux.

De la même façon, la paroi utérine est formée de trois couches épaisses : le périmètre, le myomètre et l'endomètre.

Le placenta, organe qui relie l'embryon à l'utérus maternel, est composé de trois couches : l'amnios (la membrane interne qui abrite le foetus), le chorion (la couche moyenne de l'amnios), la déciduale ou la caduque (la couche externe de l'amnios).

Comme il est souligné dans le verset, l'être humain est créé dans le ventre de sa mère en trois étapes distinctes.

Dans le verset 6 de la sourate az-Zumar, il est souligné que l’homme est créé dans le ventre de sa mère dans trois cavités distinctes. Et en effet, l’embryologie moderne a révélé que le développement embryonnaire a lieu dans trois cavités distinctes de l’utérus de la mère.

La biologie moderne a bien révélé que le développement embryonnaire du bébé a lieu dans trois régions distinctes de l'utérus maternel. Aujourd'hui, dans les manuels d'embryologie des facultés de médecine, ce sujet est considéré comme une connaissance fondamentale. Par exemple, dans Basic Human Embryology, un texte de référence fondamental dans le domaine de l'embryologie, ce fait est exprimé ainsi :

La vie dans l'utérus connaît trois étapes : pré-embryonnaire (les premières deux semaines et demie) ; embryonnaire (jusqu'à la fin de la huitième semaine); et foetale (de la huitième semaine à l'accouchement).

Ces phases, appelées trimestres, désignent trois périodes et correspondent aux étapes du développement du bébé. Les caractéristiques de ces 3 étapes sont décrites ainsi :

- L'étape pré-embryonnaire

Lors de cette première étape, le processus de division cellulaire du zygote commence rapidement. Il ressemblera ensuite à une grappe de cellules et s'accroche à la paroi de l'utérus tout en continuant à se diviser. Les cellules s'organisent en trois couches.

- L'étape embryonnaire

Pendant cette deuxième étape qui dure 5,5 semaines, l'être vivant est appelé "embryon". Durant cette période, les organes et systèmes fondamentaux du corps commencent à apparaître à partir des couches cellulaires.

- L'étape foetale

L'embryon est appelé "foetus" à partir de cette étape (à partir de la 8ème semaine de la grossesse jusqu'à l'accouchement). A la différence de l'étape précédente, le foetus a maintenant l'apparence d'un être humain avec un visage, des mains et des pieds. Bien que ne mesurant que trois cm au début, le foetus a tous ses organes complets et apparents. Cette étape dure trente semaines et le développement continue jusqu'à l'accouchement.

Les informations sur le développement utérin de l'embryon n'ont été disponibles qu'après des observations effectuées au moyen d'instruments modernes. Pourtant, comme de nombreux autres faits scientifiques, ce savoir nous est communiqué miraculeusement dans les versets du Coran. Le fait que des renseignements si détaillés et si exacts aient été donnés dans le Coran, à une époque où les gens n'avaient que des connaissances réduites des questions médicales, prouve clairement que le Coran est la parole de Dieu.

 

 

 

 

Les forces aérodynamiques et le vol programmé chez les oiseaux

N'ont-ils pas vu les oiseaux assujettis [au vol] dans l'atmosphère du ciel sans que rien ne les retienne en dehors d’Allah ? Il y a vraiment là des preuves pour des gens qui croient. (Sourate an-Nahl, 79)

En raison de la  force gravitationnelle, tous les corps laissés dans l’air finissent par tomber selon une vitesse variable (d’une manière vite ou lente). Tout, vivant ou non, est soumis à la gravité. En revanche par un miracle d’Allah, les oiseaux sont capables de résister à cette force et de voler vers le haut ou vers le bas. Ils sont capables de faire des manœuvres et parfois ils replient même leurs ailes et se laissent flotter dans le ciel. Tout ce qui caractérise les oiseaux : les plumes, leur arrangement en ailes, leurs poumons sont conçus de sorte à pouvoir voler. L’oisillon totalement inconscient de l’action de voler et des lois de l’aérodynamique est apte à voler de façon innée. Il s’élance dans le ciel comme s’il savait que son corps fut créé pour voler. L’oiseau sait que sa structure lui permet de voler, trouve le courage de se lancer dans les airs et parvient à voler grâce à l’inspiration divine.

Le mot arabe youmsikouhounna traduit par “retenir” dans le verset 79 de la sourate an-Nahl signifie “ne pas laisser aller, prendre, attraper, tenir”. Le mot est au temps présent du verbe amsaka (attraper avec la main, tenir, tirer”). Par l’emploi de ce terme, notre Seigneur Tout-Puissant révèle qu’Il retient l’oiseau dans le ciel et qu’il vole par Son injonction. Le vol des oiseaux fait encore l’objet de vastes recherches scientifiques. A partir de l’observation du vol parfait de l’oiseau, les scientifiques s’inspirèrent du corps aviaire et de sa manière de voler pour fabriquer des avions et des jets.

Le 79ème verset de la sourate an-Nahl indique peut-être que le vol des oiseaux suit les lois aérodynamiques créées par Allah. (Allah est le plus Savant.) L’aérodynamique étudie le comportement des corps solides dans un environnement fluide tel que l’air. Quand un avion vole dans les airs, par exemple, diverses forces interviennent dans le mouvement. Afin de s’assurer du bon fonctionnement de l’avion, ce dernier est testé contre la résistance présentée par l’air. Son mouvement est planifié par une longue série de calculs, de mesures et d’expériences.

La manière dont le vol des oiseaux concorde parfaitement avec les principes de l’aérodynamique continue à étonner les scientifiques. Sans aucun tâtonnement, les oiseaux se jouent parfaitement des lois de l’aérodynamique. L’usage du mot mousakhkharatin(assujetti) dans le verset traduit toute la sagesse de la mécanique de l’oiseau, car il suggère que les oiseaux ont été "incités à une fin spécifique, soumis à faire une chose, assujettis ou inclinés, qu'ils se sont soumis à Allah et à Ses lois. Aussi le verset suggère-t-il peut-être l’influence de l’aérodynamique sur le vol de l’oiseau. (Allah est le plus Savant.)

A première vue, le vol semble facile. Or l’aérodynamique démontre que tout objet volant est soumis à plusieurs forces, les plus connues étant : la gravité, la propulsion, la force de traînée et de portance. Afin que le vol puisse s’effectuer, il faut un équilibre de ces forces. Si la gravité est plus forte que les autres forces, l’oiseau tombe à terre. Le mot utilisé dans le verset décrit de façon idéale la soumission des oiseaux à ces forces. Ces expressions révélées dans le Coran à une époque où ni l’aérodynamique, ni la mécanique n’existaient soulignent l’origine divine de ce texte.


L’illustration montre les principales forces auxquelles est soumis l’oiseau au cours de son vol :
(Lift) Portance
(Drag) Traînée
(Weight) Pesanteur
Propulsion
 
 

La partie extérieure des ailes de l’oiseau est courbée, l’intérieure est plate. Cette forme produit une pression inférieure au-dessus par rapport au bas. Cette différence de pression de l’air créé une force de portance permettant à l’oiseau de s’élever dans les airs en battant ses ailes vers le haut. (ci-contre).

  1. Le déplacement rapide de l’air autour des ailes de l’oiseau produit la force de portance.
  2. L’oiseau courbe ses ailes afin d’accentuer la portance. Le flux d’air sur les ailes est ainsi accéléré.
  3. S’il incline ses ailes vers le haut à un angle très large, l’air ne peut pas facilement lisser sur l’extérieur des ailes : l’oiseau perd de la vitesse et cale.

Inspirés par Allah, les oiseaux appliquent ces principes aérodynamiques pour voler.2

En plus de la perfection aérodynamique dans le vol des oiseaux, les scientifiques s’intéressent également aux migrations qui poussent les oiseaux à couvrir plusieurs milliers de kilomètres. Les ornithologues concluent aujourd’hui que les oiseaux sont tout simplement programmés pour ces longs voyages. Il suffit de voir de jeunes oiseaux entreprendre ces périples longs et ardus sans expérience, ni guide pour aboutir à cette conclusion. Le terme arabe mousakhkharatin dans le verset cité signifie “être incité vers une cible spécifique, être sous les ordres, être placé sous la soumission” et sous-entend donc que les oiseaux obéissent à des instructions quand ils suivent le chemin de la migration. Il est en effet impossible que des oiseaux dépourvus d’intelligence et de conscience puissent effectuer leurs propres calculs au cours de leur voyage. Les scientifiques s’accordent à dire que ces capacités extraordinaires sont préprogrammées, comme en témoigne un article dans la revue Science :

Cela correspond à une bonne preuve du fait que les jeunes oiseaux sont équipés de programmes migratoires endogènes qui leur dit grosso modo combien de jours et/ou de nuits ils doivent voler et dans quelle direction.3

Dans son ouvrage La Puissance et la Fragilité, le professeur Pierre Jean Hamburger de l’Université René Descartes décrit l’extraordinaire voyage de 24.000 kilomètres qu’effectue le puffin qui vit dans l’océan pacifique :

Il prend son départ de la côte australienne, d’où il vole vers le Sud du Pacifique. Ensuite il se dirige vers le nord et vole le long de la cote japonaise jusqu’à atteindre la Mer de Bering où il se repose quelques temps. Après cette pause, il se remet en route cette fois-ci vers le sud. Traversant la cote occidentale de l’Amérique, il arrive en Californie. Il traverse ensuite le Pacifique pour retourner à son point de départ. L’itinéraire et le timing de ce périple en forme de 8 de 24.000 kilomètres ne changent jamais d’année en année. Le voyage en question dure au total six mois, arrivant invariablement à son terme à la troisième semaine de septembre sur l’île qu’il a quittée six mois auparavant, à son nid laissé six mois plus tôt. Ce qui se produit ensuite est encore plus étonnant : à leur retour, les oiseaux nettoient leur nid, s’accouplent et pondent un seul œuf au cours des dix derniers jours d’octobre. Les œufs éclosent deux mois plus tard, grandissent très vite et sont pris en charge pendant plus de trois mois jusqu’à ce que leurs parents entreprennent à nouveau cet incroyable voyage. Deux semaines plus tard, vers la mi-avril, il est temps pour les jeunes oiseaux de se lancer dans le périple. Ils suivent exactement le même itinéraire que celui décrit précédemment, sans le moindre guide. L’explication est évidente : ces oiseaux doivent avoir hérité de l’itinéraire d’un tel voyage, au même titre que leurs autres caractéristiques. Certains peuvent prétendre que les oiseaux se guident avec le soleil et les étoiles ou qu’ils suivent les vents dominant sur leurs routes à l’aller et au retour. Mais il est clair que ces facteurs ne déterminent nullement la précision géographique et chronologique de cette migration.4

Prof. Peter Berthold est un célèbre ornithologue qui étudie la migration des oiseaux depuis 20 ans et le président du Centre de Recherche Ornithologique de l’Institut Max Planck en Allemagne. Il dit ceci à propos de la migration des oiseaux :

Chaque année, près de 50 milliards d’oiseaux entreprennent des voyages migratoires, couvrant un réseau de routes à travers le monde entier. Voyageant parfois des dizaines de milliers de kilomètres, traversant des continents et des océans, les oiseaux migratoires sont tellement bien adaptés à cette tâche qu’ils peuvent traverser les grands déserts, les plus vastes mers, les plus hautes montagnes et étendues de glace… Les oiseaux migratoires disposent de programmes spatio-temporels innés complets et détaillés pour mener à bien leur migration. Ces programmes permettent aux jeunes oiseaux inexpérimentés de migrer seuls, sans guide adulte, vers les quartiers d’hiver de l’espèce – ou population – où ils n’ont jamais mis les pieds avant. Comme cela est expliqué par la suite, ils migrent par la navigation selon un “vecteur” : le vecteur étant composé d’un itinéraire migratoire génétiquement prédéterminé et à un calendrier également prédéterminé génétiquement pour la migration… En outre, le moment du départ est programmé par des facteurs génétiques… Mais comment les oiseaux “savent-ils” dans quel sens migrer, afin d’atteindre leurs quartiers d’hiver spécifique ? Une fois encore, des données collectées pointent vers les mécanismes directs de contrôle génétique. Depuis longtemps, on suspecte en effet que ces itinéraires migratoires sont innés… Quand leur point de départ est déplacé et, de manière plus cruciale, quand ils sont testé dans des cages d’orientation, les oiseaux migratoires présentent des préférences directionnelles pratiquement identiques à celles en temps normal, même s’ils n’avaient jamais migré auparavant. Un certain nombre d’expériences a fourni des preuves de la détermination génétique de la direction de migration… Même ces changements directionnels sont de toute évidence programmés de manière endogène dans une grande mesure… En plus d’un schéma inné d’activité migratoire, les oiseaux sont dotés d’un calendrier de migration génétiquement déterminé. En combinaison avec les directions migratoires génétiquement déterminées, il guide même les individus inexpérimentés, migrant pour la première fois, “automatiquement” vers leurs quartiers d’hiver encore inconnus (la navigation en vecteur, où le vecteur est composé d’un timing et d’un itinéraire).5

En conclusion, bien que les scientifiques soient incapables de l’expliquer complètement, ils s’accordent à dire que la migration est un comportement préprogrammé chez l’oiseau depuis sa naissance. Les voyages de milliers de kilomètres, les préparatifs pour ces vols et la capacité de l’oiseau à se localiser et à naviguer relèvent tous de la volonté de notre Seigneur, comme l’exprime le verset précédent. La précision des informations présentes dans le Coran est la preuve qu’elles sont la révélation d’Allah.

 

 

 

LE CLONAGE DES ETRES VIVANTS

[Le diable dit :] Certes, je ne manquerai pas de les égarer, je leur donnerai de faux espoirs,je leur commanderai, et ils fendront les oreilles aux bestiaux ; je leur commanderai, et ils altéreront la création d’Allah. Et quiconque prend le diable pour allié au lieu d’Allah, sera, certes, voué à une perte évidente. (Sourate an-Nisa, 119)

Le verset ci-dessus contient l’expression youbattikounna dérivée du verbe battaka signifiant “couper, rompre”. Le terme youghayyirounna dans le verset vient du verbe ghayyarasignifiant “changer, modifier, altérer de la forme originelle”. A la fin des deux verbes apparaît la lettre nun. Ces expressions du verset 119 de la sourate an-Nisa peuvent éventuellement faire allusion à la copie et au clonage des organismes (Allah est le plus Savant). Il se trouve en effet que les expériences de clonage se menées à partir de cellules tirées de l’oreille de l’animal. Autrement dit, on peut obtenir la réplique d’un être vivant en prélevant des cellules des échantillons coupés dans l’oreille de l’animal, comme c’est décrit le verset.

Un rapport du Centre de Recherche Agricole Fédérale Allemande fournit l’information suivante :

La phase de prélèvement de tissu est courte et simple. Quand un animal est localisé et maîtrisé, un échantillon de tissu comme par clippage de l’oreille peut être prélevé en l’espace de quelques secondes. En outre, des cellules somatiques peuvent être prélevées chez toutes les espèces… Pour le bétail, les porcs, les moutons, les chèvres, les camélidés et les lamas, une procédure unifiée et identique peut être utilisée pour l’obtention d’un échantillon de tissu de l’oreille au moyen de l’appareil utilisé pour clipper les étiquettes d’oreilles… Certes toutes les espèces lymphocytes pourraient être utilisées, mais les cellules somatiques de l’oreille étant plus simples à obtenir sont par conséquent préférables.1

Les organismes clonés au moyen d’échantillons de tissus de l’oreille sont d’actualités dans les articles suivants :

  • Selon un article de Reuters datant du 1er mai 2002, Jose Visintin, chercheur vétérinaire de l’Université de Sao Paolo au Brésil, produisit des embryons clonés pour la première fois dans le pays en utilisant des cellules tirées de l’oreille d’une vache adulte.2
  • Selon un article de la BBC, des scientifiques sud-coréens ont cloné un chien du nom de Snuppy à partir des cellules extraites d’un lévrier afghan de trois ans. Les chercheurs de l’université nationale de Séoul ont extrait la matière génétique de cellules prélevées de l’oreille et l’ont placé dans une cellule d’œuf vide. Un embryon fut obtenu par stimulation de la division cellulaire.3
  • Un autre article de la BBC affirme qu’un nouveau clone fut créé grâce à des cellules de l’oreille d’une vache adulte par le Dr. Jean-Paul Renard à l’Institut National de la Recherche Agronomique en France.4
  • D’après des informations publiées sur le site officiel du Projet du Génome Humain, en février 2002, des scientifiques de l’entreprise de biotechnologie Advanced Cell Technologies (ACT) conduisirent des expériences visant à cloner un embryon de vache grâce à des cellules de peau de l’oreille de la vache donneuse.5
  • Un article d’Associated Press datant du 24 janvier 2000 annonça que des scientifiques japonais avaient cloné le clone d’un taureau pour la première fois. Dans le re-clonage, des échantillons de tissus cutanés de l’oreille du taureau cloné en premier lieu furent prélevés quand il avait quatre mois. Ces cellules furent ensuite fusionnées avec un œuf non fertilisé dont le noyau avait été ôté.6

Le Coran faisait déjà mention des changements dans la création des êtres vivants et des “oreilles fendues” à une époque où ni la génétique, ni l’embryologie n’existaient. Cela démontre que le Coran provient de notre Seigneur, Allah, Qui n’est soumis à la notion de temps. Le verset fait également état de la déception de ces personnes quand elles modifient la création d’Allah. Cela suggère éventuellement que le clonage soulèvera plusieurs problèmes auprès des êtres humains. (Allah est le plus Savant.) Certaines déclarations émanant du Centre d’Apprentissage de la Science Génétique de l’Université de l’Utah suivent :

Quand on apprend les réussites de clonage, seuls les succès de clonage nous parviennent. Nous ne voyons pas les nombreuses expériences ayant échoué !Et même chez les clones réussis, des problèmes ont tendance à apparaître, au cours du développement de l’animal vers l’âge adulte.7

On peut lire sur le site du Projet du Génome Humain :

Dolly, le premier mammifère cloné d’un ADN adulte est mort le 14 février 2003. Avant sa mort, Dolly souffrait d’un cancer des poumons et d’arthrite. … Plus de 90% des tentatives de clonages n’ont pas permis d’aboutir à une progéniture viable… En plus des faibles taux de réussites, les animaux clonés ont tendance à présenter une fonction immunitaire plus compromise et des taux plus importants d’infection, de croissances tumorales et d’autres troubles. Des études japonaises ont montré que les souris clonées étaient de consistance fragile et mourraient jeunes… Sembler en bonne santé à un âge jeune ne garantit pas une survie sur le long terme. Il est connu que les clones meurent mystérieusement. Par exemple, le premier mouton cloné d’Australie semblait sain et énergétique le jour où il est mort. L’autopsie n’a pas permis de déterminer la cause de la mort.8

Voici en termes généraux, les risques issus des expériences de clonage :

  • Un fort taux d’échec : Le taux de réussite avoisine 0,1%- 3% seulement. Ce qui équivaut à un taux d’échec de 970 à 999 sur 1000 expériences. 9
  • Les problèmes au cours du développement : Les animaux clonés qui survivent ont généralement des organes anormalement plus grands que les originaux, ce qui peut conduire à des problèmes de circulation et de respiration, des reins ou un cerveau malade, et à un système immunitaire défaillant.
  • Des schémas d’expression génétique anormaux : Bien que les clones aient les mêmes séquences génétiques que les originaux, le noyau cellulaire du clone ne présente pas le même programme que dans un embryon naturel. Expliqué autrement, l’ADN n’arrive pas à exprimer l’ensemble correct de gènes essentiels au développement du clone en temps voulu. Les cellules des nerfs, des os, du sang ou de la peau ont toutes des programmes différents ; or les programmes génétiques dans l’embryon cloné ne fonctionnent pas aussi sainement que chez l’embryon naturel.
  • Différences télomériques : Les chromosomes raccourcissent avec la division cellulaire. La raison étant que les séquences d’ADN aux deux extrémités d’un chromosome, dits les télomères, se raccourcissent au cours de la réplique d’ADN. A mesure que l’animal vieillit, les télomères raccourcis font partie du processus de vieillissement. C’est pourquoi la forme de vie répliquée dispose de chromosomes courts dès sa naissance.

La matière génétique tirée de cellules vivantes est utilisée dans les expériences de clonage. Quant à la fertilisation, elle se fait artificiellement. Le mécanisme de reproduction créé par Allah est ainsi modifié par ces méthodes, générant des maladies inconnues, des déficiences de développement et des morts précoces. La transcription de ces expériences et des problèmes auxquels elles donnent lieu dans un livre datant de 1400 ans témoigne de l’origine divine du Coran.

Au cours du processus de clonage, l’ADN de la cellule de l’être vivant qu’on souhaite répliquer est examiné au microscope et placé dans l’œuf d’un autre membre de la même espèce. Un choc électrique est ensuite administré afin de stimuler la division de la cellule œuf. L’embryon continue à se diviser, puis est placé dans le ventre d’un membre de l’espèce où il continue à se développer jusqu’à la naissance.

 

 

 

L'ETOILE SIRIUS

L’étoile Sirius apparaît dans la sourate an-Najm (signifiant "étoile"). Les étoiles doubles formant Sirius orbitent autour d’elles-mêmes sous forme d’ellipses une fois tous les 49,9 ans. Ce phénomène astronomique est indiqué dans la sourate an-Najm aux versets 9 et 49.

Lorsque certains concepts mentionnés dans le Coran sont étudiés à la lumière des découvertes scientifiques du 21ème siècle, nous nous trouvons face à d'autres miracles scientifiques. L'un de ces miracles est l'étoile Sirius, mentionnée dans la sourate an-Najm, verset 49 :

… Et c'est Lui qui est le Seigneur de Sirius. (Coran, 53 : 49)

Le fait que le mot arabe chi'râ, l'équivalent de l'étoile Sirius, apparaît seulement dans la sourate an-Najm, verset 49, et signifie "étoile" est particulièrement frappant. Tenant compte de l'irrégularité dans le mouvement de Sirius, l'étoile la plus brillante du ciel, étant considéré comme le point de départ, les scientifiques ont découvert qu'il s'agissait d'une étoile double. Sirius est en effet un couple d'étoiles, Sirius A et Sirius B. La plus grande des deux, Sirius A, est aussi la plus proche de la Terre et la plus brillante étoile visible à l'oeil nu. Quant à Sirius B, elle ne peut être observée sans télescope.

Chacune des étoiles du couple Sirius décrit une ellipse autour d'un centre de gravité commun. La période orbitale de Sirius A & B autour de leur centre de gravité commun est de 49,9 ans. Cette donnée scientifique est aujourd'hui communément acceptée par les départements d'astronomie des Universités de Harvard, d'Ottawa et de Leicester.52 Cette information est ainsi rapportée par différentes sources :

 

Sirius, l'étoile la plus brillante, est en fait une étoile double… Son orbite dure 49,9 ans.

 

Comme nous le savons, les étoiles Sirius A et Sirius B orbitent autour d'elles-mêmes tous les 49,9 ans.

Le point qui requiert notre attention est la forme en arc de l'orbite des deux étoiles. Cependant, ce fait scientifique, dont l'exactitude n'a été établie qu'à la fin du 20ème siècle, a été miraculeusement indiqué dans le Coran, il y a 1.400 ans. Lorsque les versets 49 et 9 de la sourate an-Najm sont lus ensemble, le miracle devient apparent.

… Et c'est Lui qui est le Seigneur de Sirius. (Coran, 53 : 49)

… à une distance de deux portées d'arc - ou moins encore. (Coran, 53 : 9)

Cette description dans le verset 9 de la sourate an-Najm décrirait également comment ces deux étoiles s'approchent l'une de l'autre dans leurs orbites. (Dieu sait mieux) Ce fait scientifique que personne ne pouvait connaître à l'époque de la révélation du Coran prouve une fois de plus qu'il est la parole de Dieu Tout-Puissant.

 

 

 

LE POISSON : UNE SOURCE NUTRITIONNELLE DE VALEUR

La chasse en mer vous est permise, et aussi d'en manger, pour votre jouissance et celle des voyageurs… (Coran, 5 : 96)

La moyenne d'âge des personnes développant et succombant à des maladies cardiaques affichant une baisse régulière, une importance considérable a été accordée à la santé coronaire. Bien que de nombreux progrès aient été enregistrés dans le traitement des maladies cardiaques, les spécialistes recommandent le principe de précaution pour éviter le développement de ces maladies. Ils recommandent aussi la consommation d'un produit alimentaire très important pour le bon fonctionnement du coeur et pour la prévention de toutes maladies : le poisson.

La raison pour laquelle le poisson constitue une source nutritionnelle essentielle est que non seulement il procure les substances nécessaires à l'organisme, mais aussi réduit les risques de développement de nombreuses maladies. Par exemple, il a été montré que le poisson - qui agit, sur le plan de la santé, comme bouclier via l'acide oméga-3 qu'il contient - consommé de manière régulière, réduit les risques de maladies cardiaques et renforce le système immunitaire.

L'importante source nutritionnelle du poisson, dont les bienfaits pour la santé n'ont été découverts que récemment par les scientifiques, a été révélée dans le Coran. Dieu Tout-Puissant a mentionné dans le Coran les éléments suivants au sujet des produits de la mer :"Et c'est Lui qui a assujetti la mer afin que vous en mangiez une chair fraîche…(Coran, 16 : 14) ; "La chasse en mer vous est permise, et aussi d'en manger, pour votre jouissance et celle des voyageurs…" (Coran, 5 : 96). De plus, une attention toute particulière est portée sur le poisson dans la sourate al-Kahf, dans laquelle il est révélé que le Prophète Moïse (psl), se mit en route pour un long voyage, accompagné de son serviteur et qu'ils emportèrent du poisson comme nourriture :

Puis, lorsqu'ils eurent atteint le confluent, ils oublièrent leur poisson qui prit alors librement son chemin dans la mer. Puis, lorsqu'ils eurent dépassé [cet endroit], il dit à son valet : "Apporte-nous notre déjeuner : nous avons rencontré de la fatigue dans notre présent voyage." [Le valet lui] dit : "Quand nous avons pris refuge près du rocher, j'ai oublié le poisson…" (Coran, 18 : 61-63)

Il convient de noter que dans la sourate al-Kahf, le poisson a été choisi comme aliment à consommer après un long et pénible voyage. Par conséquent, l'une des sagesses de ce récit résiderait dans les bienfaits nutritionnels du poisson indiqués par Dieu. (Dieu sait mieux)

En effet, lorsque nous examinons les propriétés nutritionnelles du poisson, nous découvrons des éléments vraiment frappants. Le poisson, un bienfait que nous a octroyé notre Seigneur, est une nourriture parfaite, particulièrement en termes de contenu en protéines, vitamine D et certains éléments à l'état de trace (certains éléments présents en infime quantité dans l'organisme mais dont l'importance est grande). Grâce aux minéraux qu'il contient - tels que le phosphore, le soufre et le vanadium - le poisson favorise la croissance et accélère la guérison des tissus. La chair de poisson contribue aussi à la constitution d'une bonne dentition et à celles de bonnes gencives, est bénéfique pour le teint, assure une meilleure santé des cheveux et combat les infections bactériennes. Il joue aussi un rôle important dans la prévention des crises cardiaques en régulant magnifiquement le niveau de cholestérol dans le sang. Il aide le corps à se relaxer et à utiliser l'amidon et les graisses, le rendant plus fort et plus énergique. D'un autre côté, il influe sur le fonctionnement des activités mentales. Dans le cas d'une consommation en quantité insuffisante de vitamine D et d'autres minéraux contenus dans le poisson, des troubles tels le rachitisme (faiblesse des os), maladie des gencives, goitre et hyperthyroïdie peuvent aussi apparaître.

De plus, la science moderne a découvert que les acides gras de type oméga-3 contenus dans le poisson occupent une place importante sur le plan de la santé. Ces lipides ont été qualifiés d'acides gras essentiels.

Les bienfaits des oméga-3 contenus dans le tissu adipeux du poisson

Il existe deux sortes d'acides gras non saturés dans le tissu adipeux du poisson, indispensables pour notre santé : l'acide eicosapentaénoïque (EPA) et l'acide docosahexaénoïque (DHA). Les EPA et DHA sont plus connus sous le nom d'acides gras polyinsaturés et contiennent d'importantes quantités d'acides gras de type oméga-3. Etant donné que ni omega-3 ni omega-6 ne sont synthétisés par notre organisme, un apport extérieur est requis pour répondre à nos besoins en termes d'acides gras polyinsaturés.

Il existe un large éventail de preuves concernant le caractère bénéfique des lipides de poisson pour la santé humaine, le bienfait réel provenant de son contenu en acides gras oméga-3. Bien que présents dans les huiles végétales, ces acides gras omega-3 sont moins efficaces sur la santé humaine. Cependant le plancton marin est très efficace dans la conversion de l'omega-3 en EPA et DHA. En consommant du plancton, les poissons accumulent de grandes quantités en EPA et en DHA. C'est la raison pour laquelle le poisson constitue l'une des sources les plus riches en ces acides gras essentiels.

Les bienfaits vitaux des acides gras contenus dans le poisson

L'un des principaux bienfaits des acides gras du poisson est sa contribution dans l'apport énergétique à l'organisme. Ces acides gras transportent les électrons en se liant à l'oxygène de l'organisme et permettent la production d'énergie nécessaire aux différents processus chimiques internes. Des preuves considérables indiquent qu'une alimentation riche en acides gras contenus dans la chair de poisson aide à combattre la fatigue et à augmenter les capacités mentales et physiques. L'omega-3 augmente le pouvoir de concentration de l'individu aussi bien que sa réserve énergétique. Il y a un fondement scientifique au vieux dicton "le poisson est bon pour le cerveau". Le principal composant du tissu adipeux du cerveau est le DHA, qui contient des acides gras omega-3.

L'importance du poisson pour un coeur et des artères en bonne santé

Les acides gras de type oméga-3 que l'on trouve dans le poisson sont connus pour avoir des effets protecteurs contre les maladies cardiovasculaires en diminuant la tension artérielle, et en réduisant le taux de cholestérol et de triglycérides dans le sang. Les triglycérides font partie, comme le cholestérol, des composés lipidiques de l'organisme. Ils sont similaires au mauvais cholestérol (cholestérol LDL) et contiennent un taux élevé en graisse et un taux faible en protéines. Un taux élevé de triglycérides, couplé à un taux élevé de cholestérol plus particulièrement, augmente les risques de maladies cardio-vasculaires. Or, l'huile de poisson réduit les rythmes cardiaques anormaux consécutifs à une crise cardiaque qui menacent gravement la vie des patients.

Lors d'une étude effectuée par l'American Medical Association, on remarqua que le taux de crises cardiaques chez les femmes mangeant cinq portions de poisson par semaine était réduit d'un tiers. On attribue ces résultats aux acides gras oméga-3 contenus dans l'huile de poisson dont le rôle serait de prévenir la coagulation inopinée du sang. La vitesse d'écoulement normale du sang dans les veines est de 60 km/h et il est vital que la viscosité, la densité, le volume et la vitesse du sang soient à des niveaux normaux. Le pire danger pour le sang - mis à part les conditions normales de saignement - est de se coaguler, perdant ainsi sa capacité à circuler correctement. Les lipides contenus dans la chair de poisson sont aussi efficaces dans la réduction de formation de caillots de sang en empêchant les thrombocytes (plaquettes sanguines responsables de la coagulation du sang) de s'agglomérer. Dans le cas contraire, l'épaississement du sang (coagulation) entraînerait un rétrécissement du diamètre des artères. De plus, cela peut conduire à une réduction de l'irrigation de différents organes par le sang - particulièrement le coeur, le cerveau, les yeux et les reins - ainsi qu'un ralentissement de leur fonction et en définitive une perte de fonction. Par exemple, les conséquences d'une artère complètement bloquée par des caillots de sang sont une crise cardiaque, une paralysie ou d'autres troubles encore, selon l'emplacement de l'artère.

Les acides gras oméga-3 jouent aussi un rôle important dans la production d'hémoglobine par les globules rouges et le transport d'oxygène par ces mêmes molécules, et dans le contrôle de l'accès des substances nutritives à travers la membrane cellulaire. Ils préviennent également les effets dévastateurs des graisses nocives pour l'organisme. Toutes les recherches menées, ont démontré le rôle crucial des acides omega-3 de poisson dans la réduction du risque d'attaque cardiaque.

Son importance pour le développement des nouveaux-nés

Composants importants du cerveau et de l'oeil, les acides gras omega-3 ont fait l'objet de nombreuses recherches, surtout ces dix dernières années, notamment en rapport avec les besoins des nouveau-nés. Il y a une forte accumulation de preuves au sujet de l'importance de l'omega-3 dans le développement du foetus dans le ventre de sa mère et dans celui du nouveau-né. Les oméga-3 sont essentiels pour le bon développement du cerveau et des nerfs durant toute la grossesse et la petite enfance. Les scientifiques insistent tout particulièrement sur l'importance du lait maternel, véritable réserve naturelle et parfaite d'oméga-3.

Ses bienfaits sur la bonne santé des articulations

Le risque majeur dans les arthrites rhumatoïdes (douleurs inflammatoires des articulations liées à des rhumatismes) est la détérioration des articulations, résultant en dommages irréparables. Il a été démontré qu'une alimentation riche en acides gras omega-3 empêchait des maladies telles que l'arthrite de se développer et réduisait la gêne due à des articulations enflées et sensibles.

Bienfaits sur le bon fonctionnement du cerveau et du système nerveux

Un grand nombre d'études ont révélé les effets bénéfiques des acides gras omega-3 sur le bon fonctionnement du cerveau et des nerfs. De plus, il a été prouvé qu'un complément en huiles de poisson peut réduire les symptômes de dépression et de schizophrénie, et empêcher la survenue de la maladie d'Alzheimer (une maladie du cerveau qui provoque des pertes de mémoire et gêne les activités quotidiennes). Par exemple, on a observé des réductions de troubles tels l'anxiété, le stress et les troubles du sommeil chez les individus souffrant de dépression et qui ont été soumis à un régime comprenant 1 gramme par jour d'acides gras omega-3 sur une période de 12 semaines.

Ses bienfaits sur l'atténuation des troubles inflammatoires et sur le renforcement du système immunitaire

Les acides gras omega-3 ont en même temps une fonction anti-inflammatoire (prévention des infections). Ils peuvent donc être employés pour traiter les maladies suivantes :

-Polyarthrite rhumatoïde (rhumatisme inflammatoire chronique qui affecte les articulations)

-Ostéoarthrite (forme la plus commune d'atteinte articulaire aboutissant graduellement à la dégénérescence du cartilage)

-Recto-colite hémorragique (ulcère caractérisé par une inflammation chronique du côlon) et

-Lupus (une maladie qui conduit à l'apparition de tâches cutanées)

-Il protége aussi la myéline (une substance qui forme l'essentiel de certaines fibres nerveuses). Il est par conséquent utilisé dans le traitement

-du glaucome (augmentation de la pression à l'intérieur de l'oeil qui peut conduire à la cécité)

-de la sclérose en plaques (maladie du système nerveux qui provoque la démyélinisation du cerveau ainsi que de la moelle épinière)

-de l'ostéoporose (une maladie qui conduit à un affaiblissement structurel de la structure osseuse)

-et des patients atteints de diabète

De plus, on rapporte aussi qu'il est utile pour le traitement

-des patients souffrant de migraine

-de l'anorexie (un trouble de l'appétit qui peut être fatal)

-des brûlures

-des problèmes cutanés

Il y a un large éventail de preuves étayées par les populations esquimaudes du Groenland et par les Japonais, qui consomment d'importantes quantités de poisson, riches en acides gras oméga-3 et qui présentent un faible risque de développer des maladies cardio-vasculaires ou des maladies artérielles, ou l'asthme et le psoriasis. Le poisson est par conséquent recommandé, particulièrement par les nutritionnistes, en raison de ses bienfaits sur la santé des artères coronariennes.

D'autres bienfaits mis à part ceux cités plus hauts sont découverts chaque jour. De plus, il n'a été possible de révéler les effets bénéfiques du poisson que grâce au travail d'un grand nombre de scientifiques travaillant dans des laboratoires de recherches équipés d'un bon matériel. Le fait qu'une source de nutrition d'une telle valeur ait été indiquée dans le Coran, et particulièrement décrite comme éliminant la fatigue dans la sourate al-Kahf, n'est pas moins impressionnant. Tous les bienfaits fournis par le poisson sont un don de notre Seigneur. Tout comme pour toutes les autres nourritures, c'est Dieu, le Seigneur des mondes, qui a créé le poisson, un animal hautement organisé, pour notre bienfait.

 

 

 

 

LES MIRACLES SCIENTIFIQUES DE DIEU 
DANS LE CORAN

L'ABEILLE FEMELLE

[Et voilà] ce que ton Seigneur révéla aux abeilles : "Prenez des demeures dans les montagnes, les arbres et les treillages que [les hommes] font. Puis mangez de toute espèce de fruits, et suivez les sentiez de votre Seigneur, rendus faciles pour vous." De leur ventre, sort une liqueur, aux couleurs variées, dans laquelle il y a une guérison pour les gens. Il y a vraiment là une preuve pour des gens qui réfléchissent. (Coran, 16 : 68-69)

Dans les colonies d'abeilles, à chacune des nombreuses abeilles est assignée une tâche, à l'exception des mâles. Les mâles ne contribuent pas à la défense ou au nettoyage de la ruche, ni à la collecte de la nourriture ou à la construction du nid, ni à la fabrication du miel. Leur seule fonction consiste à féconder la reine. Mis à part les organes de reproduction, les mâles ne possèdent pratiquement aucune des caractéristiques trouvées chez les autres abeilles et il leur est par conséquent impossible d'assurer une autre fonction que celle de s'accoupler avec la reine.

Les abeilles ouvrières portent l'entière responsabilité de la colonie. Bien qu'elles soient des femelles comme la reine, leurs ovaires ne sont pas mâtures, ce qui les rend stériles. Elles ont plusieurs fonctions : nettoyer la ruche, prendre soin des larves et des jeunes, nourrir la reine et les mâles, produire du miel, construire ou réparer les alvéoles, ventiler la ruche et la surveiller, rassembler les vivres tels le nectar, le pollen, l'eau et la résine, et les stocker à l'intérieur de la ruche.

En arabe, il y a deux formes d'emploi des verbes. A travers cette utilisation, il est possible de déterminer si le sujet est mâle ou femelle. En fait, les verbes (en italique) utilisés pour l'abeille femelle dans les versets sont utilisés au féminin. A travers cela, le Coran nous indique que ce sont les abeilles femelles qui fabriquent du miel.

Nous devons garder à l'esprit que les données relatives aux abeilles ne pouvaient être connues à l'époque du Prophète Mohammad (pbsl). Cependant, Dieu a souligné ce fait et a révélé à l'homme un autre de ses miracles à travers le Coran.

 

 

 

 

 

 

 

CONTRACTION DE LA POITRINE AVEC L'AUGMENTATION DE L'ALTITUDE

Les êtres humains ont besoin d'oxygène et de la pression atmosphérique pour vivre. Respirer est rendu possible par l'oxygène dans l'atmosphère qui atteint l'alvéole pulmonaire dans les poumons. Cependant, avec l'altitude, la pression atmosphérique baisse au fur et à mesure que l'atmosphère devient plus mince. Par conséquent, la quantité d'oxygène qui pénètre dans le système sanguin diminue et il devient plus difficile de respirer. L'alvéole pulmonaire devient plus étroite et se contracte, on a l'impression qu'on ne peut plus respirer.

Si la quantité d'oxygène dans le sang est inférieure aux besoins du corps, plusieurs symptômes émergent : extrême fatigue, maux de tête, vertiges, nausées et perte de jugement. Lorsqu'une certaine altitude est atteinte, il devient impossible pour un être humain de respirer.186 C'est pourquoi nous avons besoin de bouteilles à oxygène et de vêtements spéciaux pour pouvoir survivre à de telles altitudes.

Quelqu'un qui se trouve à 5.000-7.500 m au-dessus du niveau de la mer, peut perdre conscience et tomber dans le coma à cause de problèmes respiratoires. Cela explique la présence d'équipements d'oxygène dans les avions. Il y a aussi des systèmes spéciaux qui régulent la pression d'air lorsque les avions volent à 9.000-10.000 m d'altitude au-dessus du niveau de la mer.

Une anoxie se produit lorsque l'oxygène n'atteint pas les tissus. Cette déficience en oxygène survient à 3.000-4.500 m d'altitude. Certaines personnes peuvent perdre conscience à de telles altitudes, mais peuvent être sauvées immédiatement par un traitement par l'oxygène.

Dans la comparaison faite dans le verset suivant, cette vérité physique, les changements qui ont lieu au niveau de la poitrine avec l'altitude, est indiquée en ces termes :

Et puis, quiconque Dieu veut guider, Il lui ouvre la poitrine à l'Islam. Et quiconque Il veut égarer, Il rend sa poitrine étroite et gênée, comme s'il s'efforçait de monter au ciel. Ainsi Dieu inflige Sa punition à ceux qui ne croient pas. (Coran, 6 : 125)

 

 

 

 

MOUVEMENT REDUIT LA NUIT

[C'est Lui le] Fendeur de l'aube, Il a fait de la nuit une phase de repos ; le Soleil et la Lune pour mesurer le temps. Voilà l'ordre conçu par le Tout-Puissant, l'Omniscient. (Coran, 6 : 96)

Le mot arabe sakan, qui apparaît dans le verset en langue arabe, signifie "se reposer, repos, se retirer pour se reposer, temps de faire une pause". Comme l'a indiqué Dieu, la nuit est le moment durant lequel les êtres humains se reposent. L'hormone mélatonine, secrétée la nuit, prépare le corps à dormir en ralentissant les mouvements physiques des gens, les rendant endormis et fatigués, fonctionnant ainsi comme un tranquillisant naturel, qui soulage les esprits. Durant le sommeil, les battements du coeur et les rythmes de la respiration ralentissent et la pression sanguine tombe. Au matin, la production d'hormones s'arrête et le corps est stimulé pour se réveiller.

Le sommeil permet en même temps aux muscles et aux tissus du corps de se réparer et au corps de remplacer les cellules vieilles ou les cellules mortes. Etant donné que la dépense énergétique est réduite à ce moment-là, le corps stocke de l'énergie pendant toute la nuit. Certains produits chimiques vitaux pour le système immunitaire et le développement des hormones sont sécrétés aussi durant le sommeil.

Dans le cas où les gens n'ont pas eu suffisamment de sommeil, alors le système immunitaire est très vite affecté et le corps prédisposé à être malade. Si les gens ne parviennent pas à dormir pendant deux nuits, il devient difficile pour eux de se concentrer et leur niveau d'erreur augmente. S'ils sont privés de sommeil durant trois nuits de suite, ils commenceront à avoir des hallucinations et auront des difficultés à réfléchir logiquement.

La nuit est un temps fait pour se reposer aussi bien pour les êtres humains que pour les autres êtres vivants. Cette situation mentionnée par Dieu dans le verset "Il a fait de la nuit une phase de repos", indique un fait qui ne peut être observé à l'oeil nu. De nombreuses activités qui ont lieu le jour, ralentissent et ont un temps de repos la nuit. En ce qui concerne les plantes, par exemple, la transpiration des feuilles et la photosynthèse commencent à augmenter au lever du Soleil. Dans l'après-midi, la situation est inversée. En d'autres mots, la photosynthèse ralentit et la respiration augmente étant donné que la transpiration est accélérée quand la température monte. La nuit, comme la température baisse, la transpiration diminue et les plantes se reposent. Beaucoup de plantes mourraient si une seule nuit faisait défaut. De ce point de vue, la nuit signifie repos et revigoration pour les plantes, tout comme pour les êtres humains.

Le mouvement au niveau moléculaire diminue aussi la nuit. Les radiations émises par le Soleil, pendant la journée activent les atomes et les molécules dans l'atmosphère terrestre et font qu'ils atteignent des niveaux énergétiques plus élevés. Lorsque tombe la nuit, les atomes et les molécules tombent à des niveaux énergétiques plus bas et commencent à dégager des radiations.

Ces faits, sont en toute probabilité, indiqués dans la sourate al-An'am, verset 96 et révèlent un autre des innombrables miracles du Coran. (Dieu sait mieux)

 

 

LES MIRACLES SCIENTIFIQUES DE DIEU 
DANS LE CORAN

LES ORBITES ET L'UNIVERS EN ROTATION

L'une des plus importantes bases de l'équilibre de l'Univers est le fait que chaque corps céleste suit une orbite particulière. Etoiles, planètes et satellites tournent tous autour de leur propre axe et aussi tous ensemble autour du système dont ils dépendent. L'Univers fonctionne selon un ordre minutieux tel une horloge bien réglée.

Il existe dans l'Univers visible plus de 100 milliards de galaxies, les petites renfermant près d'un milliard d'étoiles. En outre, chaque grande galaxie en possède plus d'un trillion. Nombre de ces étoiles ont des planètes et la plupart de ces planètes ont des satellites. Tous ces corps célestes se déplacent dans des orbites calculées avec la plus grande précision. Depuis des millions d'années, chacun d'eux "vogue" sur sa propre orbite, en parfaite harmonie avec tous les autres. De plus, il existe un grand nombre de comètes, chacune disposant de sa propre voie, prédéterminée pour elle.

Dans l'Univers, les orbites ne sont pas l'apanage de quelques corps célestes. Le Système Solaire ainsi que d'autres galaxies se déplacent également à des vitesses immenses autour d'autres centres. En une année, la Terre et avec elle le Système Solaire parcourent 500 millions de km. Les scientifiques ont estimé que la moindre petite déviation des corps célestes de leurs orbites pouvait avoir des conséquences graves et entraîner la fin du Système Solaire. Par exemple, si la Terre déviait ne serait-ce que de 3 mm de son parcours normal, les conséquences seraient comme suit :

En effectuant sa rotation autour du Soleil, la Terre suit une orbite bien précise, de manière à ce que tous les 30 km environ, elle ne dévie que de 2,8 mm. L'orbite que suit la Terre ne change jamais, car même une déviation de 3 mm seulement provoquerait des désastres. Si la déviation était de 2,5 mm au lieu de 2,8 mm, alors son orbite serait plus élevée et nous serions tous gelés. Si la déviation était de 3,1 mm, on brûlerait.

Une autre caractéristique des corps célestes est qu'ils tournent aussi autour de leurs propres axes. Le verset qui dit "Par le ciel qui accomplit ses révolutions" (Coran, 86 : 11) parle de cette vérité. A l'époque où le Coran a été révélé, l'humanité ne possédait évidemment pas de télescopes ni les techniques d'observation de pointe que nous avons aujourd'hui, et qui permettent d'observer les corps célestes situés à des millions de km. Elle n'avait pas non plus les connaissances modernes en termes de physique ou d'astronomie. C'est pourquoi, il était impossible d'affirmer que l'Espace est empli de "voies parfaitement tracées" (Coran, 51 : 7) comme l'atteste le verset. Cependant, le Coran en fait explicitement mention, car il est la parole de Dieu.

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12 décembre 2012

the signs

Certains athées essayent de faire croire qu’Albert Einstein ne croyait pas en Dieu. Ils essayent de le ralier à leur cause mais malheureusement pour eux, Albert Einstein lui même était au courant de cela durant son vivant raison pour laquelle il a dit cette phrase assez intéressante :

 

« En prenant compte d’une telle harmonie dans le cosmos, que j’arrive à reconnaître avec mon cerveau humain limité, il existe cependant des gens qui disent qu’il n’y a pas de Dieu. Mais ce qui m’énerve réellement c’est qu’ils me citent afin de supporter leur point de vue. » (Albert Einstein, Extrait du livre d’Alice Calaprice “The Expanded Quotable Einstein”, 2000, p.214)

 

Le problème pour les athées est que la nature présente trop de design. Certains animaux, insectes et plantes possèdent des caractéristiques tellement sophistiquées que les scientifiques et ingénieurs commencent aujourd’hui à se pencher vers le monde naturel pour développer de nouvelles technologies et résoudre des problèmes scientifiques.

 

Ce procédé a donné naissance à une nouvelle discipline scientifique appelée la biomimétique (parfois appelée bionique). Il s’agit de s’inspirer des modèles présents dans la nature afin de développer des nouvelles technologies.

Quelques exemples

1/ Des ingénieurs japonais s’inspirent de l’oiseau Martin-pêcheur.

Les trains japonais figurent parmis les plus rapides du monde et les plus sécurisés. Néanmoins, un problème majeur préoccupait les ingénieurs japonais depuis des années.

Lorsqu’un train rentrait sous un tunnel à une vitesse élevée, l’air se comprimait à l’avant du moteur et lorsque le train sortait du tunnel, cet air se précipitait à l’extérieur, créant ainsi un bruit sonore très fort ce qui réveillait les personnes à bord. Et étant donné que le système ferroviaire du Japon possède de nombreux tunnels et qu’en plus le pays a des lois très scrites sur la pollution sonore, il fallait absolument remédier à ce problème.

Après de nombreuses recherches, ils ont finalement trouvé une solution surprenante dans la nature. En effet, c’est en analysant l’oiseau Martin-pêcheur que les ingénieurs ont trouvé la solution.

Le Martin-pêcheur est un oiseau avec une tête large et un bec extra long. C’est un excellent pêcheur car il plonge dans l’eau à une très grande vitesse en faisant très peu d’éclaboussures (ce qui représente l’idéal pour les plongeurs olympiques).

En faisant des expériences sur le vent dans le tunnel, les ingénieurs se sont aperçus que le bec du Martin-pêcheur avait une forme idéale pour une transition fluide de l’air à l’eau. Et ce changement de pression de l’air à l’eau est similaire à celui qu’un train expérimente lorsqu’il quitte un tunnel.

les ingénieurs ont donc décidé de reconstruire l’avant du train en reproduisant le design du bec du Martin-pêcheur, ce qui a permis de réduire le bruit mais aussi la consommation d’énergie de 15%.

2/ Des ingénieurs de Chrysler s’inspirent du poisson-coffre.

Des ingénieurs de Chrysler ont développé un concept-car pour Mercedez appelé « Mercedez Bionic » en s’inspirant du poisson-coffre, poisson tropical bien connu des plongeurs en eau profonde des mers chaudes.

L’idée était de construire la voiture la plus aéromydamique possible, c’est à dire qui offre le moins de résistance à l’air.

Des études effectuées sur le poisson-coffre ont permis de découvrir que sa forme, à première vue pas très aérodynamique, était en réalité d’une efficacité aérodynamique remarquable.

En imitant donc la forme de ce poisson, la Mercedez Bionic atteint un coefficient de trainée (coefficient qui calcule l’aérodynamisme) de 0,06 qui est le résultat le plus aérodynamique jamais obtenu pour une voiture de 4 m de long.

En plus d’avoir imité la forme du poisson-coffre, les ingénieurs ont aussi imité sa peau, constituée d’innombrables écailles hexagonales et une lame osseuse assurant la rigidité du corps. Ce squelette et cette peau lui donnent de la force tout en le protégeant des blessures.

L’entièreté du châssis, dont le secret est encore gardé, s’en est inspiré ce qui a permis une diminution de poids d’un tiers tout en augmentant la solidité et la résistance aux impacts.

3/ Des ingénieurs de Qualcomm s’inspirent du papillon.

Les ingénieurs de la marque Qualcomm (entreprise américaine dans le domaine de la technologie mobile, numéro 1 mondial des puces pour téléphones mobiles) ont développé une nouvelle technologie d’affichage électronique en imitant les ailes du papillon. Les structures hautement développées des ailes de certains papillons permettent de réfléchir la lumière de telle sorte que des longueurs d’onde spécifiques interfèrent les unes avec les autres pour créer des couleurs vives.

Ce même principe a été appliqué à la technologie d’affichage de pointe baptisée « Mirasol » développée par Qualcomm afin de rendre les écrans de lecteurs électroniques (Ebooks, téléphones portables, smartphones, tablettes androides) plus lisible et plus lumieux.

Avec cette technologie, un écran peut donc maintenant être lisible en plein soleil. Mais la ou le résultat est surprenant est que la consommation de courant est divisée par un facteur atteignant 200 car l’écran n’a plus besoin de produire sa lumière à partir du courant comme c’est le cas des écrans LCD ou Oled. Il n’utilise l’électricité que pour la commande de l’affichage.

Cette nouvelle technologie d’affichage, très prometteuse pour l’avenir et avec un potentiel énorme, a déjà été retenu par LG Electronics, numéro 4 mondial des téléphones portables et devrait se généraliser sur le marché dans les prochaines années.

4/ Des ingénieurs s’inspirent de la baleine.

La baleine à bosse, contrairement à d’autres animaux marins comme le dauphin, ne possède pas de nageoire avec des bords lisses. En effet, les nageoires de la baleine à bosse présentent des bosses comme des ondulations.

Il y a quelques années, un biologiste américain et spécialiste des dynamiques de locomotion, Frank Fish, découvra que les baleines à bosses ont l’habitude unique d’attraper le poisson dans un « filet » de bulles, qu’elles créent en plongeant profondément et en remontant en cercles serrés. Il proposa donc que ces bosses sur les nagoires (qu’on appelle des tubercules) devaient d’une façon ou d’une autre leur donner un avantage hydrodynamique leur permettant d’effectuer ses virages si remarquables malgré leur taille et devaient expliquer pourquoi les baleines coulent si gracieusement dans le fluide des océans.

Par la suite, Frank Fish et ses collègues Loren Howle et Mark Murray, après avoir fait un test sur une réplique de nageoire dans une soufflerie, ont trouvé que les tubercules engendraient une réduction de 32 % de la traînée, et un accroissement de 6 % de la poussée ascendante, comparés à une nageoire de bord lisse.
les résultats de ces recherches ont fait l’objet de plusieurs publications dans la lettre Physical Review, dans le magazine Nature, dans la revue du M.I.T et a même été validée par la U.S. Naval Academy.

La société canadienne WhalePower, créée en 2004, a décidé suite à ses recherches d’élaborer un prototype d’éolienne calqué sur la forme des nageoires des baleines à bosse. Les ingénieurs de la société ont ainsi reproduit minutieusement les tubercules de la nageoire de la baleine à bosse, pour permettre une application prometteuse non seulement aux éoliennes, mais aussi aux pales de ventilateurs ainsi qu’aux turbines.

Cette nouvelle technologie d’éoliènne n’accorde rien de moins que 20 % de rendement énergétique, ce qui est un progès considérable si l’on considère qu’accroître le rendement de 1 à 2 % sans augmenter le bruit relève de l’exploit. L’éolienne ainsi créée est en effet moins bruyante, mais aussi plus résistante aux tempêtes.

De plus, cette caractéristique de la nageoire de la baleine à bosse a permis aussi d’améliorer la technologie des hélicoptères. En effet, un groupe de chercheurs du Centre Aérospatial d’Allemagne (Deutsches Zentrum für Luft-und Raumfahrt), a découvert que des hélices possèdant des tubercules comme la baleine à bosse permettait d’augmenter la manœuvrabilité et la vitesse des hélicoptères.

Ils ont aussi découvert que cela permettait d’améliorer le confort des passagers car cela diminuait la vibration causée par les hélices.

5/ Des ingénieurs s’inspirent du poisson-couteau.

Le poisson couteau appelé aussi « poisson couteau fantome noir » est un poisson tropical qui habitent les rivières à courant rapide dans le bassin amazonien. Non seulement il possède un organe qui lui permet d’envoyer une tension électrique faible tout autour de son corps afin de capturer ses proies mais il est surtourt connu pour sa manœuvrabilité hors du commun et une agilité digne d’un vrai acrobate. En effet, ce poisson, grace à sa nageoire tout en longueur, arrive à se depacer dans toutes les directions, aussi bien en avant qu’en arrière ainsi qu’à la verticale quasiment instantanément.

La manœuvrabilité de ce poisson constitue un idéal pour la technologie sous-marine, raison pour laquelle des ingénieurs de l’université de Northwestern, en collaboration avec la société Kinea Design (société spécialisée en génie mécanique et électronique), ont fabriqué un robot Waterproof équipé de 32 petites nageoires artificielles qui reproduisent la longue nageoire du poisson-couteau.

En plus d’avoir copié la nageoire de ce poisson, les ingénieurs ont aussi imité son organe sensitif qui lui permet de détecter des proies en envoyant des faibles champs électriques.

Ils ont donc placé sur le robot un système sensoriel basé sur celui du poisson-couteau mais ils espèrent pouvoir l’améliorer dans le futur afin que le robot puisse utiliser de manière autonome ce système afin de détecter des objets à proximité de lui. En d’autres termes, ils n’ont pas encore réussi à mettre un système aussi efficace que celui présent sur ce poisson.

Ce robot pourrait être utiliser pour des opérations sous-marines, comme le monitoring d’environnement océanique ou la mise en place de canalisation de pétrole ou encore des opérations de sauvetage.

Conclusion

Nous avons vu ici seulement quelques exemples de biomimétique parmis des milliers.

En 2010 par exemple, on a découvert que les ailes de papillons pourraient mettre fin aux fraudes bancaires, on a fabriqué un nouveau matériau en polystyrène en s’inspirant des coquillages et on a créé la surface la plus imperméable qu’il existe en prenant des cheveux d’araignées.

En 2011, on a découvert qu’une plante était capable de détecter des explosifs, on a créé des structures ultra légères pour l’architecture en s’inspirant du squelette des oursins et on a fabriqué une main électronique extrêmement habile qui pourrait servir aux amputés en se basant sur l’élasticité remarquable du mouvement des jambes du cafard.

Bref, tant d’exemples qui prouvent une seule chose : il existe bel et bien un design exceptionnel dans la nature, un design qui pointe vers l’existence d’un designer. Car comment se fait-il que le monde naturel soit doté d’une infinité de systèmes parfaits et de technologies remarquables qui surpassent amplement les systèmes et technologies créés par l’Homme ?

 

En 1802, le théologien anglais William Paley publie son célèbre ouvrage intitulé « La théologie naturelle » dans lequel il présente l’analogie de la montre. Celle-ci explique que si une personne tombait sur une montre bien conçue au milieu des bois, la complexité de la montre serait la preuve qu’un concepteur intelligent a fait la machine.

 

Son analogie est une extension de l’argument théologique, qui dit simplement que s’il y a du design dans la nature, alors ce design exige l’existence d’un designer.

Le prix Nobel de biologie en 1965 François Jacob commente sur l’argument de Paley en disant :

« De fait, la principale preuve de l’existence de Dieu a longtemps été « l’argument d’intention ». Développé notamment par Paley dans sa Théologie naturelle…cet argument est le suivant : Si vous trouvez une montre, vous ne doutez pas qu’elle a été fabriquée par un horloger. De même, si vous considérez un organisme un peu complexe, avec l’évidente finalité de tous ses organes, comment ne pas conclure qu’il a été produit par la volonté d’un Créateur ? Car il serait simplement absurde, dit Paley, de supposer que l’œil d’un mammifère, par exemple, avec la précision de son optique et sa géométrie, aurait pu se former par pur hasard. » (François Jacob, le jeu des possibles, p 32)

En Janvier 2011, le journaliste Malcom Ritter, qui s’occupe des articles scientifiques pour l’Associated Press (agence de presse américaine), a rapporté une récente découverte faite par deux scientifiques, Akhilesh Reddy de l’université de Cambridge et Joseph Bass de l’université de Northwestern aux États Unis.

Leur découverte a été publiée dans le magazine « Nature » et a permis de démontrer que les horloges qui existaient dans les celulles de notre corps sont en réalité beaucoup plus sophistiquées que les scientifiques le pensaient. Voici un extrait de l’article de Malcom Ritter intitulé : « Une étude des horloges cellulaires montre ce qui nous fait tick » :

 

« Qu’est-ce qui nous fait tick ? Toutes les personnes qui souffrent de décalage horaire en savent beaucoup sur l’horloge interne de notre corps qui est alimentée par un groupe de cellules dans le cerveau. Mais même les cellules de notre corps possèdent leurs propres horloges afin de coordonner les activités au niveau cellulaire. Mais aujourd’hui, une nouvelle recherche suggère que ces horloges internes sont en réalité beaucoup plus complexes que les scientifiques le pensaient.

En effet, ils supposaient que c’était simplement le résultat de l’activité de certains gènes mais dans une nouvelle recherche, ils se sont penchés sur les cellules humaines qui ne possèdent pas de gènes et ont trouvé une enzyme qui faisant volte-face entre deux formes différentes sur un cycle régulier de 24h. »

 

 

 

Surnommée l’avion de chasse du monde animal par Ron Fearing, ingénieur en robotique, la mouche est un chef d’oeuvre de design qui surpasse de loin certaines technologies présentes dans les avions les plus perfectionnés d’aujourd’hui. Ne pensant que 0,1g, cet insecte est de loin le plus sophistiqué de toutes les créatures volantes.

 

Des techniques de vol hors du commun

Une stabilisation automatique

En Mars 2010, des chercheurs de l’université de Cornell aux États Unis ont réussi à découvrir comment la mouche arrivait à garder sa trajectoire de vol lorsqu’elle était perturbée par de fortes rafales de vent. Ils ont découvert que la mouche utilisait un réflexe stabilisateur automatique lui permettant de récupérer de ses dérives en plein vol.

Cette étude, conduite notamment par Jane Wang, pofesseur en ingénierie des Sciences Aérospatiales a été publiée par l’Académie Nationale des Sciences (nord-américaine) et a fait l’objet d’un article dans le magazine “Science” en mars 2010 dont voici un extrait :

« Afin de démasquer les secrets de la stabilité de vol des mouches, les chercheurs ont imaginé un moyen de les faire trébucher en plein vol. Ils ont collé de minuscules aimants sur le dos des mouches sous sédation par un trempage dans de l’eau glacée. Ensuite, lorsque l’insecte s’est mis à voler, les chercheurs ont allumé des champs magnétiques qui ont zappé l’aimant, poussant ainsi l’insecte hors de sa trajectoire de vol.

Les chercheurs ont constaté que les mouches pagayaient délicatement leurs ailes pour piloter en vol en réglant l’inclinaison de leurs ailes en quantités infimes – aussi peu que 9 degrés – à un taux remarquable de 250 fois par seconde. »

Les mouches arrivent donc à retrouver leur posture originale suite à une dérive en plein vol avec une telle précision que le magazine science n’oublie pas de mentionner dans son article que “Apprendre du monde biologique pourrait aider le monde mécanique, comme la recherche sur le vol des mouches pourrait aider les ingénieurs à simplifier la conception des ailes d’avion.”

Si la mouche arrive à effectuer ce genre de manoeuvre, c’est grâce au fait qu’elle possède deux organes sensitives appelés “haltères” qui commandent le battement des ailes et aident donc le maintient de la stabilisation en vol.

Un équilibre aérodynamique complexe

Pendant des années, de nombreux scientifiques comme le professeur Dickinson ont mené des expériences en espérant découvrir la manière dont les insectes battent leurs ailes d’avant en arrière. Durant ses expériences sur les mouches, Dickinson a découvert que les ailes des insectes n’oscillaient pas simplement de haut en bas comme si elles étaient reliées par une charnière mais utilisaient en réalité des techniques aérodynamiques complexes. En outre, les ailes changent d’orientation à chaque battement ! la surface supérieure des ailes se retrouve au-dessus lorsque les ailes descendent puis les ailes se retournent et la face inférieure se retrouve au-dessus lorsque les ailes remontent.

Voici ce que déclare Michael Dickinson, professeur au service biologique de l’Université de Californie à Berkeley dans le magazine “Scientific American” en Juin 2001 :

« Les mouches utilisent en fait plusieurs principes aérodynamiques. Par exemple, lorsqu’elles battent des ailes, elles forment derrière elles un tourbillon de courants d’air complexe, semblable au sillage d’un navire. Quand l’aile change de direction, elle passe à travers ce tourbillon d’air et récupère ainsi une partie de l’énergie qu’elle a perdue. Les muscles qui permettent à la mouche de battre des ailes 200 fois par seconde sont considérés comme les muscles les plus puissants parmi tous les insectes. »

Un appareil visuel remarquable

Le fonctionnement de l’appareil visuel de la mouche est l’un des mieux organisés du monde animal. La fusion des sens visuels, inertiels et aérodynamiques est remarquable chez la mouche. Complètement panoramiques, les yeux à facettes de la mouche permettent à l’insecte de voir en avant, en arrière, en haut et en bas, et de voler ainsi à une vitesse de plusieurs mètres par seconde sans se crasher.

Nicolas Franceschini qui travaille au CNRS de marseille et qui dirige le département de biorobotique du laboratoire « Mouvement et Perception » commente sur la vision de la mouche :

« Les yeux de la mouche sont complètement panoramiques, ce qui leur permet d’appréhender la totalité de l’environnement. »

Ensuite, le « cockpit » de la mouche renferme environ 1 million de neurones alimentés par les signaux électriques provenant des 48 000 cellules photoréceptrices qui composent la mosaïque rétinienne. Le réseau neuronal traite ces signaux et expédie des « commandes électriques de vol » à 18 paires de muscles moteurs chargés d’ajuster en temps réel l’amplitude, la fréquence et l’angle d’attaque des ailes. Grâce à lui, la mouche peut redresser son vol et échapper aux prédateurs.

Plus récemment, Nicolas Franceschini a découvert que la rétine de la mouche, d’ordinaire des plus stables, se mettait à vibrer activement lors du vol. Il a donc simulé le mécanisme par ordinateur pour conclure :

« Le microbalayage rétinien peut permettre à la mouche de garder l’œil braqué sur une cible avec une finesse 40 fois meilleure que si la rétine restait statique »


L’œil de la mouche peut percevoir une vibration lumineuse 330 fois par seconde. De ce point de vue, il est six fois plus sensible que l’œil humain.
L’œil de la mouche a une structure connue sous le nom d’œil composé, qui lui permet de voir à travers un grand nombre de lentilles et avec un angle large.Il se compose d’un grand nombre d’unités optiques. Chacune possède sa propre lentille optique, et produit un grand nombre d’images. Les circuits neuronaux de chaque unité prennent une image partielle, et on obtient alors une image plus nette que le fond couvert de parasites. Il peut également détecter dans le spectre lumineux des fréquences d’ultraviolets qui nous sont invisibles. Ce système permet aux mouches d’échapper facilement à leurs ennemis, particulièrement dans les milieux sombres.

Un système auditif plus complexe que celui de l’Homme

Alors que l’on pensait qu’aucune créature pouvait aussi bien localiser un son que l’être humain, des recherches sur le système auditif des mouches et plus particulièrement sur l’espèce de mouche appelée “Ormia” ont révélé que le système auditif des mouches était plus sophistiqué que celui des êtres humains.

Dans un article intitulé : « Acoustique dans les oreilles des mouches » paru dans le magazine Nature en 2001, on peut y lire :

« Pour localiser les sons, le cerveau humain utilise une méthode similaire à celle de la mouche. Pour ce faire, il suffit pour le son d’atteindre l’oreille la plus proche d’abord, puis ensuite, la plus lointaine. Quand une onde sonore frappe la membrane du tympan, elle est convertie en un signal électrique et immédiatement transmis au cerveau. Le cerveau calcule les millisecondes de différence que le son met à aller de l’oreille à l’autre et détermine ainsi la direction d’ou il vient. La mouche, dont le cerveau n’est pas plus grande qu’une tête d’épingle, effectue ce calcul qu’en 50 nanosecondes, 1000 fois plus vite que nous le faisons. »

La technologie s’inspire de la mouche

Un drone mini hélicoptère

L’étude comportementale et neurophysiologique de la mouche a inspiré la recherche en Intelligence Artificielle et la construction de robots autonomes. Les recherches sur le système visuo-moteur de la mouche de l’équipe de Neurocybernétique du Laboratoire de Neurobiologie du CNRS à Marseille, ont mené au développement de deux robots mobiles possédant un système visuel en électronique analogique basé sur des Détecteurs Élémentaires de Mouvement (DEM) s’inspirant de ceux de la mouche.

Pesant 100 grammes, Octave est un hélicoptère captif doté de vision. Son œil ventral observe le relief grâce à un neurone électronique détecteur de mouvement dérivé de la mouche.

Des panneaux solaires anti-reflet


Le modèle de panneau solaire classique brille comme un miroir, une partie de la lumière s’en échappe donc. Il fallait donc trouver un moyen de fabriquer une surface anti-reflet.

Un chercheur anglais a trouvé une forme de surface anti-reflet dans l’œil d’une mouche. Cette forme va améliorer de 10% l’efficacité des panneaux solaires.

De nouveaux appareils d’imagerie médicale

La technologie d’imagerie médicale utilisée dans les appareils existants déjà tel que les IRM par exemple offre des bienfaits incontestables. Néanmoins cette technologie est très couteuse raison pour laquelle les scientifiques travaillent actuellement sur le développement de nouveux appareils dans ce domaine.

Joseph Rosen et David Abookasis, deux scientifiques ont trouvé une solution à ce problème en s’inspirant de l’oeil composé de la mouche. Ils ont développé un nouveau système d’appareil médical très économique en prenant la structure de l’oeil de la mouche comme point de départ.

En reproduisant le fonctionnement de l’oeil de la mouche, les scientifiques ont réussi a augmenté le nombre de microlentilles dans l’appareil, permettant ainsi d’augmenter la résolution. ils ont intitulé leur recherche : « Voir à travers les tissus biologiques, en utilisant le principe de l’œil de la mouche » et prétendent que ce nouveau système sera très prometteur.

De nouveaux appareils auditifs


L’oreille de la mouche a causé une révolution dans le développement de nouveaux appareils auditifs. Des chercheurs de l’université de Cornell ont commencé à étudier différents systèmes auditifs présents dans la nature afin de développer de nouveaux équipements auditifs plus perfectionnés. À la suite des ces recherches, il ont décidé de s’inspirer du système auditif de la mouche.

Les scientifiques essayent d’utiliser les fonctionnalités exceptionnelles de la mouche dans la fabrication de systèmes auditifs sous le nom de marque ORMIAFON.

Les scientifiques n’arrivent même pas à créer une mouche

Récemment, une équipe de scientifiques et d’ingénieurs de Berkeley aux Etats Unis ont fabriqué le premier robot-mouche qu’ils ont appelé : « Microfly. » Le gouvernement américain ainsi que le département de la défense ont dépensé 2,5 millions de dollars dans ce projet car il espère pouvoir utiliser ce robot-mouche à des fins d’espionnage mais aussi de reconnaissance.

Le but principal de cette équipe de chercheur était d’arriver à dupliquer le système de mouvement des ailes d’une mouche. Ils ont donc essayé de créer une vitesse de battement d’aile de 150 par secondes qui représente la vitesse requise afin de permettre une suspension dans les airs. Ron Fearing, le chef de projet commente :

« Nous avons réussi à faire battre une aile 150 fois par seconde mais pas les deux. C’est frustrant car une fois que vous réussissez à faire battre une aile comme vous le souhaitez, vous ne pouvez plus rien faire d’autre. » (Extrait d’un article du journal “The San Francisco Chronicle”)


Ils ont par la suite réussi à résoudre ce problème en créant un mécanisme assez complexe pour ensuite s’apercevoir que ce robot mouche n’arrivait toujours pas à se suspendre dans les airs. Ron Fearing conclu en plaisantant :

« Nous avons seulement un robot mouche avec des ailes d’entrainement. » (Extrait d’un article du journal “The San Francisco Chronicle”)

Le professeur Dickinson (mentionné plus haut) qui a aidé aussi les chercheurs sur ce projet commente lui aussi à son tour en disant :

« Vous n’avez aucune idée à quel point certains systèmes biologiques présents dans la nature sont complexes jusqu’à ce que vous essayez de les recréer vous même. » (Extrait d’un article du journal “The San Francisco Chronicle”)

Conclusion

La mouche présente un degré de complexité inimaginable à faire palir un avion de chasse. Néanmoins certaines personnes prétendent que ce design merveilleux et ces structures si sophistiquées de la mouche sont le résultat de l’évolution. Mais cela a t-il un sens ? Si les êtres humains, avec toute leurs intelligences et technologies n’arrivent même pas à créer un semblant de mouche, comment est-ce possible que celle ci soit le résultat d’une évolution par chance aveugle et mutations aléatoires ? Cela n’a t-il pas plus de sens de conclure qu’un Créateur est à l’origine de la création de la mouche ?

Il existe un passage très intéressant à ce sujet dans le coran (pour ceux qui ne savent peut-être pas, le coran est simplement considéré par bientôt une personne sur trois dans le monde comme étant la dernière révélation que Dieu a faite à l’humanité par le biais du dernier des messagers (Muhammad), révélation qui vient confirmer les précédentes données à des messagers tel qu’Abraham, Moise ou Jésus et qui scelle le message divin jusqu’à la fin des temps.)

Dans la sourate (chapitre) numéro 22 appelée « le pélerinage »(Al Hajj) au verset 73 il est dit :

« O Hommes ! Voici une parabole qui vous est proposée. Ecoutez-la ! Ceux que vous invoquez en dehors de Dieu ne sauraient même pas créer une mouche, dussent-ils s’y mettre ensemble. Et si une mouche leur enlevait quelque chose, ils seraient incapables de le lui reprendre. Solliciteur et Sollicité sont aussi faibles l’un que l’autre. » (Le Coran, traduction du sens du verset 73 de la sourate 22, d’après la nouvelle traduction du professeur Muhammad Chiadmi.)

12 décembre 2012

Arcticle

La science sans religion est boiteuse, la religion sans science est aveugle." (AlbertEinstein / 1879-1955)

La théorie de BIG – BANG : qu’est ce que c’est ? :

De nombreux savants comme Albert Einstein ont consacré beaucoup de leurs études pour comprendre comment cet univers est il arrivé là ? , comment la terre s’est installé au bon milieu de notre galaxie dans la bonne place entre venus et la planète mars , à quoi ressemblait notre galaxie il y a des milliards d’années .

comment l’histoire de l’univers à débuter , où il n y avait ni terre ni soleil ni galaxie , où c'était le néant absolue même si de nombreux savants ont essayé d’imposer leurs idées que l’univers existait depuis toujours pour exclure tout mot de ‘création’ et qui dit création , dit créateur et qui dit créateur dit dieu .
des savants comme Edwin Hubble , Albert Einstein en 1917 a découvert que notre galaxie et notre univers est en élargissement permanent , oui les galaxie autour de nous bougent , et atteignent parfois la vitesse de la lumière c'est-à-dire 300.000 Km /s , ce qui a emmené ces savants à revenir en arrière et à étudier ces traçages de galaxie pour en revenir à un espace de plus en plus rétrécit et empilé .

 

 

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